Nous ne sommes malheureusement pas en face d’une science exacte. Il y a toujours une marge d’incertitude. Une évaluation trop basse est regrettable pour le cédant, a contrario, trop haute, elle met en difficulté le repreneur face à ses partenaires financiers, ou, pire, cette erreur d’appréciation grève lourdement les chances de réussite du projet de reprise.
Une étude de valorisation peut très bien concerner des parts sociales, un fond de commerce, des actifs à céder...
Après les premiers entretiens in situ, un diagnostic global de l’entreprise est réalisé et nous permet de retenir les méthodes de valorisation appropriées. Une fois cette sélection terminée, il faut définir les coefficients de pondération de chaque méthode qui déterminent, in fine, un tunnel de valorisations.
Une évaluation sérieuse et juste ne se limite pas à la simple multiplication d’un indicateur de rentabilité, mais doit bien prendre en compte toute une série de paramètres qui influencent l’appréciation financière de l’outil (positionnement sectoriel, ticket d’entrée, opportunité, valorisation des goodwill et badwill ….)